Les élèves de 2S particiepent au Beit Project.

The Beit Project est un projet européen et méditerranéen sur le vivre-ensemble lancé à Paris en 2011.  Le projet associe le patrimoine historique à la lutte contre le racisme, l’exclusion sociale et les discriminations.

Les sessions réunissent au milieu des sites du patrimoine urbain deux groupes de différentes écoles comptant au maximum 16 élèves par session de deux jours. Ce processus dynamique qui se déroule pendant deux journées complètes sur site permet à chaque groupe (une demi-classe de chaque école) de développer des compétences liées aux domaines de l’histoire, de la géographie, de l’éducation civique, des arts, des sciences et de la technologie.

Les élèves commencent par construire leur propre « maison d’étude » par tandems, ce qui engage la construction d’une intimité forte et encourage la collaboration parmi des élèves jamais rencontrés auparavant. Le dialogue initié entre les deux élèves est suivi de l’engagement de tout le groupe et de la contribution des personnes dans la rue au cours des activités éducatives.

Le dialogue incite les étudiants à s’écouter et à débattre, tout en partant de leur diversité.  

Dans les sessions urbaines, deux groupes provenants de deux écoles différentes (par leur situation géographique, condition sociale, orientation…) se rencontrent et apprennent à travailler et à créer ensemble. Les rencontres, les découvertes ainsi que le côté ludique de l’apprentissage sont les points du projet les plus appréciés des élèves.

L’implication des professeurs/accompagnateurs est un élément important du projet bien que l’encadrement soit fait par les équipes du projet. La méthodologie ouverte peut inspirer beaucoup d’enseignants voyant la motivation de provoque la méthodologie du projet sur les élèves en général et sur des parfois décrochés du cursus scolaire habituel.

Le projet s’inspire des méthodes des mouvements de pédagogie active bien qu’étant totalement indépendant philosophiquement.

• La rencontre de l’autre, pour comprendre la de pluralité des points de vue et leur complémentarité / Le travail en groupe et en binôme, le débat en groupe, le questionnement des inconnus.
• L’observation de l’environnement proche dans sa complexité, pour réveiller la curiosité / Voir ce qu’on ne regarde pas, s’intéresser à l’insignifiant
• L’autonomie et la participation comme moteur et motivation. Apprendre à apprendre.